(message original en anglais)

traduction par machine:

J’ai vu un vélo neuf d’une valeur de 1.500 € sur un marché de Bruxelles pour 200 €. Je pensais que c’était sûrement trop beau pour être vrai. Le vendeur doit être très pressé de le vendre. Je ne savais pas comment en vérifier la légitimité.

Le Danemark est dans le coup

Le #Danemark a interdit l’achat d’un vélo volé. C’est exact. L’acheteur d’un vélo volé peut être poursuivi. Bien sûr, ma première pensée est la suivante : comment peuvent-ils demander des comptes à un acheteur alors qu’il ne peut pas connaître avec certitude l’historique de la moto ? Le Danemark dispose d’une ligne d’assistance téléphonique gratuite pour vérifier le numéro de série d’un vélo avant de l’acheter.

C’est une excellente idée en supposant que la hotline conserve des enregistrements d’appels et justifie les acheteurs qui appellent avant que le numéro de série ne soit connu comme étant celui d’un vélo volé.

Belgique

Il est légal en Belgique d’acheter un vélo volé. En fait, les acheteurs de biens volés ont effectivement des droits ! Il y a de la sympathie pour les acheteurs parce qu’ils ont dépensé de l’argent pour les biens volés. Si une victime découvre son bien volé en possession de quelqu’un d’autre, la police ne se contente pas de restituer le bien au propriétaire légitime. Ils demandent au nouveau « propriétaire » de signer un accord pour renoncer à la propriété. Noisette !

La #Belgique ne dispose pas de hotline pour vérifier les numéros de série. Il existe un programme d’autocollants grâce auquel les propriétaires peuvent enregistrer leur vélo avant qu’il ne soit volé. On prétend que les autocollants laissent des résidus collants sur le vélo s’ils sont retirés. Il semble donc que le système antivol repose sur les acheteurs recherchant des preuves des autocollants retirés. Comment les acheteurs peuvent-ils savoir si une vignette retirée était auparavant une vignette d’immatriculation ou tout autre type de vignette ? Cela semble inutile. Apparemment, ils espèrent que les voleurs feront preuve de négligence et laisseront l’autocollant dessus afin que les acheteurs puissent consulter le site Web, ce qui suppose de manière déraisonnable que les acheteurs transportent avec eux un appareil abonné à Internet.

Le vélo que j’ai vu au marché de rue contenait en fait des résidus d’autocollant retiré. Mais ça aurait pu être n’importe quoi. J’avais besoin d’un moyen d’appeler le numéro de série du cadre.

Autre embarras : les victimes de vols de vélos à #Bruxelles se sont vu refuser l’accès aux photos des vélos volés récupérés si elles ne disposaient pas d’un compte Facebook (en).

croisée d'un dessin anglais et d'une machine à traduire en français comme suit:

Le raccordement au réseau WiFi du système de bibliothèques françaises est arbitrairement restrictif. La connexion meurt au moment où un paquet Tor est envoyé. Tor est légal et ne rompt pas l'accord auquel les gens doivent convenir lorsqu'ils se connectent.

Quelqu’un sait-il si c’est la décision de la bibliothèque? Ils semblent externaliser à Cisco donc je me demande si Cisco a décidé pour eux de bloquer le trafic Tor sans être dirigé pour le faire.