barberousse

Deux projets financés par Québec tenteront de soulager la pression qu’exerce l’itinérance sur le Quartier Latin : une halte-chaleur sera offerte à l’UQAM et un intervenant sera en poste à la Grande Bibliothèque, où se réfugient de nombreux sans-abri.

#Montreal #Itinerance #Logement

Les campements de sans-abri se multiplient à Montréal, et plus seulement au centre-ville. Certains apparaissant dans des quartiers excentrés pour la première fois. Et les autorités n’en ont jamais autant démantelé, révèlent des données inédites obtenues par La Presse. Des expertes critiquent cette méthode forte.

Le front commun syndical représente 420 000 travailleurs au public. Des assemblées se tiennent jusqu’à la mi-octobre.

Des centaines de contre-manifestant·es se sont réuni·es mercredi dans le centre-ville afin de défendre les droits des enfants trans.

Je peux pas croire que ça se passe en 2023 ! Solidarité 🏳️‍🌈🏳️‍⚧️

Imaginez un Internet où les utilisateurs ont le contrôle des plateformes vidéo, loin du pouvoir des géants de l'industrie. Un Internet où la censure est quasi inexistante, la confidentialité de chacun est préservée, et la diversité du contenu est encouragée. Cette vision devient réalité grâce à PeerTube, une véritable révolution dans le monde de la vidéo en ligne.

Voici un petit guide étape par étape pour trouver des communautés sur Lemmy

Le documentaire "Produire la menace" révèle comment les agences de sécurité canadiennes incitent des citoyens vulnérables à commettre des crimes pour justifier leurs budgets. Il se concentre sur l'histoire de John (Omar) Nuttall et Amanda (Ana) Korody, manipulés par la police pour tenter un attentat. Bien que libérés, cette tactique est répandue. Les coûts de sécurité augmentent avec l'utilisation d'agents provocateurs, alimentant une industrie de plusieurs milliards de dollars. L'opacité entourant les services secrets rend difficile de connaître l'étendue de ces pratiques. Le film vise à sensibiliser le public à ces méthodes et à leur utilisation potentielle contre des groupes environnementalistes et autochtones.

L'article examine la Loi sur les nouvelles en ligne, se demandant si elle cible efficacement les problèmes du marché publicitaire en ligne. Il souligne que Google et Meta dominent largement ce marché et que la loi vise principalement leur partage de contenu, tout en négligeant le problème des "sites MFA" (made-for-advertising) qui génèrent du contenu de faible qualité pour afficher plus de publicités. L'article suggère que la loi aurait pu encourager davantage l'achat de publicités sur les sites légitimes plutôt que sur ces pièges à clics. Il note également l'émergence de plateformes publicitaires plus strictes pour lutter contre les sites MFA.

À Québec, un stationnement novateur inauguré en 2022 contrôle efficacement les eaux de ruissellement grâce à diverses techniques, y compris des fossés, des bassins de rétention, et des réservoirs. Cela devient crucial en cas de précipitations exceptionnelles, telles qu'en été 2023, lorsque la Ville a dû déverser des eaux non traitées dans le fleuve Saint-Laurent pour éviter les inondations. Ces aménagements permettent de reproduire le cycle naturel de l'eau tout en réduisant les coûts par rapport à la rénovation des conduites d'égout souterraines.

L'article explore le concept du "cornucopianisme", une idéologie qui croit que le progrès technologique peut résoudre tous les problèmes environnementaux en repoussant les limites naturelles. Cette pensée est enracinée dans l'idée que les ressources naturelles sont inépuisables grâce à l'innovation humaine. Cependant, l'article souligne que malgré certaines réussites, comme l'intensification de l'exploitation des ressources, la substitution de ressources reste un défi. De plus, l'intensification a engendré des problèmes environnementaux graves. En fin de compte, le "cornucopianisme" est critiqué pour éviter de discuter des changements sociaux, culturels et politiques nécessaires pour faire face aux limites planétaires, en se reposant sur la technologie pour résoudre les problèmes écologiques.

La véritable inquiétude devrait résider dans les comportements haineux et la désinformation sur les réseaux sociaux, plutôt que dans l'identité de genre de l'enseignante.